L’inscription de l’assistance au suicide dans la nouvelle loi valaisanne sur la santé ne fait pas l’unanimité.
Un collectif, formé de professionnels de la branche, a présenté leurs arguments ce soir. Avec six demandes d’aide au suicide sur ces trois dernières années en Valais, il estime inutile d’inscrire ce principe dans la Loi. Cela serait, au contraire, trop contraignant puisque les institutions soutenues par l’État auraient l’obligation d’offrir cette prestation. Le collectif estime également qu’il serait plus important de trouver des alternatives comme la mise en place d’un concept cantonal sur les soins palliatifs.
La deuxième lecture de la loi sur la santé aura lieu lors de la session de mars du Parlement, et les débats promettent d’être à nouveau animés.
